Révolution – citations et phrases
Une révolution est une idée qui a trouvé ses baïonnettes.
La révolution est la fête des opprimés.
Quoiqu' une révolution réussisse ou échoue, personne de grand cœur ne se sacrifiera toujours pour elle.
Le jour viendra où une simple carotte, fraîchement observée, va déclencher une révolution.
La révolution ne semble pas toujours parfaite.
La révolution n’est pas une pomme qui tombe quand elle devient mûre. Vous devez la faire tomber.
Il est impossible de prédire le temps et les progrès de la révolution. Elle est gouvernée par ses propres lois plus ou moins mystérieuses.
Toute civilisation est devenue de temps en temps une croûte mince sur un volcan de la révolution.
Il est temps d’effectuer une révolution dans les mœurs féminines pour restaurer leur dignité perdue. Il est temps de séparer les mœurs immuables de celles locales.
La révolution noire est contrôlée par des libéraux blancs, par le gouvernement lui-même. Mais la Révolution Noire est contrôlée seulement par Dieu.
Chaque génération a besoin d’une nouvelle révolution.
Dans une révolution, comme dans un roman, la partie la plus difficile à inventer est la fin.
La passion est nécessaire pour tous les grand travaux, et pour la révolution, la passion et l'audace sont nécessaires en grandes doses.
Je ne peux m’empêcher de craindre que les hommes peuvent atteindre un point où ils voient chaque nouvelle théorie comme un danger, toute innovation comme un problème pénible,chaque progrès social comme un premier pas vers la révolution, et qu’ils peuvent refuser absolument de bouger.
Depuis la révolution, huit générations d’anciens combattants Américains ont établi un engagement infaillible pour la liberté.
La Révolution verte se concentre sur 'les trois grands' — le maïs, le riz et le blé — et la Révolution verte n'a pas adapté 'les trois grands' aux conditions africaines, hormis de l’Afrique du Sud, autant qu’elle en devrait avoir.
Quand on fait une révolution, on ne peut pas marquer le temps ; On doit toujours aller de l’avant — ou revenir en arrière. Celui qui parle maintenant de la ' liberté de la presse ' va vers l’arrière et s’arrête à notre course effrénée vers le socialisme.
Il n’y a rien de mal à souffrir, si vous souffrez pour une cause. Notre révolution n’a pas abolie le danger ou la mort. Il a simplement fait que le danger et la mort en vaut la peine.
La révolution ne peut être pro-occidentale ou démocratique.
Certains étrangers avec leurs ventres pleins et qui n'ont rien de mieux à faire, nous montrent du doigt. Tout d’abord, la Chine n’exporte pas la révolution ; Deuxièmement, elle n’exporte pas la famine et la pauvreté ; et Troisièmement, elle ne vous embête pas. Alors quoi d’autre y a-t-il à dire ?