Citations de Alexis de Tocqueville

Dans une révolution, comme dans un roman, la partie la plus difficile à inventer est la fin.

Je ne connais aucun pays où il y ait aussi peu d’indépendance d’esprit et de véritable liberté de discussion que l'Amérique.

Le pouvoir de la presse périodique est second à celui du peuple.

Ceux qui méprisent les gens n’auront jamais le bien des autres et d’ eux-mêmes.

La santé d’une société démocratique peut être mesurée par la qualité des fonctions exercées par des particuliers.

La liberté ne peut être établie sans morale ni moralité sans foi.

L’histoire est une galerie de photos dans laquelle il y a quelques originaux et beaucoup de copies.

En Amérique, la majorité soulève des obstacles fromidables autour de la liberté d’opinion ; au sein de ces obstacles, un auteur peut écrire ce qu’il veut, mais malheur à lui s’il va au-delà.

Dans la vie politique les haines partagées sont presque toujours la base des liens d’amitié.

Il y a beaucoup d’hommes de principe dans les deux partis de l' Amérique, mais il n’y a aucun parti de principe.

L' indien a su vivre sans veut, à souffrir sans se plaindre et mourir chantent.

Quand le passé n'éclaire plus l’avenir, l’esprit marche dans les ténèbres.

Les Américains combinent les notions de religion et de liberté si intimement dans leur esprit, qu'il est impossible de les faire concevoir l'une sans l'autre.

Toute la vie d’un Américain se passe comme un jeu de hasard, une crise révolutionnaire ou une bataille.

Le rôle principal des religions c'est purifier, contrôler et d'empêcher ce goût excessif et exclusif du bien-être que les hommes acquièrent à l'heure d'égalité..

Il était aussi grand qu’un homme peut être sans morale.

La vie doit être entrepris avec courage.

À mesure qu'on creuse plus profondément dans le caractère national des américains, on voit qu’ils ont cherché la valeur de tout dans ce monde uniquement dans la réponse à cette simple question : combien d’argent cela va rapportera ?

Aucune guerre prolongée ne peut empêcher de mettre en danger la liberté d’un pays démocratique.

La démocratie et le socialisme n’ont rien en commun sauf un mot, l’égalité. Mais remarquez la différence : alors que la démocratie cherche l’égalité dans la liberté, le socialisme cherche l’égalité dans la retenue et la servitude.