Douleur – citations et phrases
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C’est la jeunesse qui doit hériter des tribulations, de la douleur... qui sont les conséquences de la guerre.
J’ai compris le paradoxe, que si vous aimez jusqu'à ce que ça fasse mal, il ne peut plus y avoir de douleur, mais seulement encore plus d'amour.
La joie est toujours venue après la douleur.
Vivre la tristesse et la colère peut vous faire sentir plus créatif, et en étant créatif, vous pouvez aller au-delà de votre douleur ou de la négativité.
J'ai pu exploiter toutes les choses négatives qui peuvent m'arriver tout au long de ma vie en m'engourdissant dans la douleur pour ainsi dire et pouvoir en quelque sorte l'évacuer à travers ma musique.
Je ne crains pas la mort autant que je crains ses prologues: la solitude, la décrépitude, la douleur, la débilité, la dépression, la sénilité. Après quelques années de cela, j'imagine que la mort se présente comme un jour férié à la plage.
Prendre des risques, faire des erreurs. Voilà comment l'on grandit. La douleur nourrit votre courage. Vous devez échouer pour apprendre à être courageux.
Les talons hauts allient plaisir et douleur.
Pour moi, chanter des chansons tristes est souvent un moyen pour guérir d'un problème. Ça permet de faire sortir la douleur de l'obscurité vers la lumière.
Le roi est mort et la reine est morte est une histoire.Le roi est mort, et puis la reine est morte de douleur est un complot.
Il est plus facile de trouver des gens qui voudront mourir, que de trouver ceux qui sont prêts à endurer la douleur avec patience.
Vous pouvez compatir à la douleur de quelqu'un et ressentir de la compassion qui peut conduire à l’intimité.
Je paye mes propres factures. Je ressens ma propre douleur.
La chirurgie moderne a été comme un miracle pour ceux qui pensaient que la douleur allait durer éternellement.
Je ne ressens pas la douleur comme la plupart des gens.
Dans le pays de la douleur, nous sommes tous seuls.
Il y a une joie dans la douleur que personne ne sait sauf une pleureuse.
Le temps enlève la douleur de l'homme.
Aucune société n’a été capable d’abolir la tristesse humaine, aucun système politique ne peut nous délivrer de la douleur de vivre, de notre peur de la mort, notre soif d’absolu. C’est la condition humaine qui dirige la condition sociale, pas l’inverse.
Il y a une ligne fine qui sépare le rire de la douleur, la comédie de la tragédie, l'humour de ce qui fait mal.