Décès – citations et phrases
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La vie est agréable. La mort est paisible. C’est la transition qui est difficile.
Le travail incessant de votre vie est de construire la maison de la mort.
C’est l’amour, pas la raison, qui est plus fort que la mort.
La mort est là pour nous tous.
Dans ce monde, rien n'est tenu comme certain, sauf la mort et les impôts.
D'autres états essaient d'abolir la peine de mort... le mien est en train de la mettre en voie rapide.
La mort d’Abdel Nasser, le 28 Septembre 1970, a été un échec irréversible pour l’Égypte.
La mort et l’amour sont les deux ailes qui portent l'honnête homme vers le ciel.
Nous ne savons pas ce qu'est l'amour. Nous connaissons ses symptômes, le plaisir, la douleur, la peur, l’anxiété et ainsi de suite. Nous essayons de résoudre les symptômes, ce qui devient une promenade dans le noir. Nous y passons nos jours et nos nuits, et il se termine sous peu par la mort.
Et je montrerai que rien ne peut arriver de plus beau que la mort.
Nous avons une limite, une limite très décourageante, humiliante : la mort.
Personnellement, je serais ravi s' il y avait une vie après la mort, surtout si elle me permettait de continuer à apprendre sur ce monde et d' autres, si elle me donnait la chance de découvrir comment l' histoire s' avère.
La vie inspire plus d’effroi que la mort — c’est la vie qui est la grande inconnue.
L’amour a pas d’âge, pas de limite; et pas de mort.
Les braves hommes meurent en guerre.Il faut beaucoup de chance ou de jugement ne pas être tué.Une fois, au moins, la tête doit s'incliner et le genou doit se plier au danger.Les soldats qui reculent sous les arcs de triomphe sont des déserteurs de la mort.
Toute forme de violence consiste en certaines personnes forçant d’autres sous la menace de la souffrance ou de la mort, de faire ce qu’ils ne veulent pas faire.
Si la vie ne doit pas être prise trop au sérieux, alors la mort non plus.
Je pense que la monotonie et la mort sont presque identiques.
La société a une fascination pour la mort.
Création détruit comme il va, jette un arbre pour la naissance d’un autre. Mais l’homme idéal serait abolir la mort, se multiplier millions sur million, se cabrer ville après ville, enregistrer chaque parasite vivant, jusqu'à ce que l’accumulation de la simple existence est gonflée à une horreur.