Citations de D. H. Lawrence

Vous ne voulez pas aimer, votre désir éternel et anormal est d'être aimé. Vous n'êtes pas positif, vous êtes négatif. Vous absorbez, absorbez, comme si vous devez vous remplir d'amour, car vous avez une pénurie quelque part.

Sentimentalisme est le travail sur soi, des sentiments, que vous n' avez pas vraiment.

Dieu ne sait pas les choses. Il est les choses.

Ayant atteint et fait l’amour... l'homme... est devenu lui-même, son histoire est racontée.

Ne soyez pas du côté des anges, c'est trop s'abaisser.

Les jours de l' absolu sont acheves, et nous sommes devant les dieux étranges une fois de plus.

Toute la vérité essentielle contient la mémoire de tout ce qui n’est pas vrai.

Les hommes toujours arrêtent vraiment de penser, quand le dernier morceau de l’animal sauvage meurt en eux.

La crainte chrétienne des perspectives païenne a endommagé toute la conscience de l'homme.

L'étude correcte de l’humanité est l'homme dans sa relation avec la divinité.

Les hommes et femmes doivent rester séparés, jusqu'à ce que leurs cœurs les rapprochent doucement l'un vers l’autre.

L’être humain est une créature des plus curieuses. Il pense qu’il a une seule âme, et il en a des dizaines.

Oh littérature, oh l’art glorieux, combien il profite de la moelle de nos os. Il prend toutes les choses que nous avons en nous et nous rejette. Hélas !

Il y a toujours l'hyène de la moralité à la porte du jardin et le vrai loup au bout de la rue.

La conscience est une fin en soi. Nous nous torturons nous-mêmes pour arriver quelque part, et quand nous y arrivon,s ce n’est nulle part, car il n’y a nulle part où aller.

Je veux vivre ma vie pour que mes nuits ne soient pas remplies de regrets.

La fonction essentielle de l’art est la morale. Mais une morale passionnée, implicite, non didactique. Une morale qui change le sang, plutôt que l’esprit.

Notre âge est un âge trop conscient. Nous savons beaucooup de choses, nous sentons trop peu.

J’ai envie d’écrire quand je me sens méchant. C’est comme avoir un bon éternuement.

La mort est la seule pure belle conclusion d’une grande passion.