Citations de William S. Burroughs

Le visage du mal est toujours le visage du besoin total.

La pensée ne suffit pas. Il y en a pas assez de définitive de la sagesse, l’expérience — toute... chose.

Un toxicomane ne cesse jamais de grandir. Plus bête.

Aux États-Unis, vous devez être un déviant ou mourir d’ennui.

Je suis allé tellement loin dehors un jour , je ne reviendrai pas du tout.

La police d'un Etat; qui fonctionne bien, n'a besoin d’aucune police.

Arnaqueurs du monde, il y a un point, que vous ne pouvez pas battre: la marque à l’intérieur.

Le language est un virus de l’espace extra-atmosphérique.

Parfois la paranoïa est juste d'avoir tous les faits.

Certaines personnes aiment les banlieues soignées. Je suis toujours attiré par le délabrement, le vieux et le décalé.

L’amour ? Qu'est-ce que c'est? Le plus naturel des analgésiques.

Un paranoïaque est quelqu'un qui connaît un peu de ce qui se passe.

Chaque homme a à l’intérieur de lui-même un être parasitaire qui n'agit pas du tout à son avantage.

Votre connaissance de ce qui se passe ne peut qu'être superficielle et relative.

Le silence est seulement effrayant pour les gens qui verbalisent compulsivement.

Rien n'est vrai, tout est permis.

Briser les images de contrôle. Briser la machine à contrôle.

La seul éthique possible est de faire ce que l'on veut faire.

Tout ce qui peut être fait chimiquement peut être réalisé par d'autres moyens.

Comme je déteste ceux qui se consacrent à produire la conformité.