Citations de William Butler Yeats

Un sacrifice trop long peut rendre le coeur en pierre. O quand sera-t-il suffisant?

La lumière des lumières cherche toujours le motif, et non l’acte en soi, l’ombre des ombres sur l’acte seul.

Pensez où la gloire de l’homme commence et se termine et dites que ma gloire était que j’ai eu des amis.

Les meilleurs manquent toute conviction, alors que les pires sont pleins d’intensité passionnée.

Le pire chez certains hommes, c’est que quand ils ne sont pas ivres, ils sont sobres.

Les innocentes et les belles n’ont d'ennemis que le temps.

Si la souffrance apporte la sagesse, je voudrais être moins sage.

Il n’y a pas d'étrangers ici ; Seulement des amis que vous n’avez pas encore rencontrés.

L’homme peut incarner la vérité, mais il ne peut pas la connaître.

L’éducation n’est pas remplir un seau, mais allumer un feu.

N’attendez pas que le fer soit chaud pour frapper; mais chauffez-le à force de frapper.

Pensez comme un homme sage, mais communiquez dans la langue du peuple. .

Nous faisons de la querelle avec les autres, de la rhétorique, mais de la querelle avec nous-mêmes, de la poésie.

Je sais que je rencontrerai mon destin quelque part dans les nuages  ; Je ne hais pas ceux qui je combat, je n'aime pas ceux qui je garde

Être irlandais, il avait un sens respectueux de la tragédie qui l'a soutenu par des périodes temporaires de joie.

Je pense qu’il vaudrait mieux dans ces moments-là, que la bouche d’un poète se taise, car en vérité nous n’avons aucun don pour définir un bon homme d'état.

Un vieillard n'est qu'une chose dérisoire, un manteau déchiré sur un bâton, à moins que l'âme ne batte des mains et ne chante, et chante plus fort pour chaque lambeau de sa robe mortelle.

Comment pouvons-nous connaitre le danseur à partir de la danse ?

Chaque tentation conquérante représente un nouveau fonds d’énergie morale. Toutes les épreuves endurées et altérées dans le bon esprit font une âme plus noble et plus forte qu’avant.

Je pense que vous pouvez laisser les arts, supérieurs ou inférieurs, à la conscience de l’humanité.