Citations de Ronald Reagan
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Le déficit ne m'inquiète pas. Il est suffisamment grand pour prendre soin de lui-même.

Ce que nous avons trouvé dans ce pays et peut-être ce dont nous sommes plus conscients maintenant, c'est un des problèmes que nous avons eus, même dans le meilleur des cas et c’est les gens qui dorment sur les grilles, les sans-abri, on pourrait dire, par choix.

La majeure exportation mondiale du Nicaragua a été la violence.

Aujourd'hui, nous avons fait ce que nous devions faire. Ils comptaient sur la passivité de l' Amérique. Ils se sont trompés.

J'ai souvent dit qu'il n’y a rien de mieux pour l’intérieur d’un homme que l’extérieur d’un cheval.

Le contribuable — c’est quelqu'un qui travaille pour le gouvernement fédéral mais n’a pas à passer les examens de la fonction publique.

Quand vous ne pouvez pas leur faire voir la lumière, faites-leur sentir la chaleur.

Si jamais nous oublions que nous sommes une nation en Dieu, alors nous serons un pays en faillite.

Chaque génération va plus loin que la génération qui l'a précédée parce qu'elle se tient sur les épaules de cette génération. Vous aurez des opportunités au-delà de tout ce que nous avons jamais connu.

L'assurance-chômage est une vacance pré-payée pour pique-assiettes.

Soyons sûrs que ceux qui viendront après nous diront de notre temps que nous avons fait tout ce qui pouvait être fait à notre époque. Nous avons terminé la course; Nous les gardions libres; Nous avons gardé la foi.

La liberté prospère quand la religion est dynamique et la primauté du droit de Dieu est reconnue.

Le gouvernement est comme un bébé. Un canal alimentaire avec un grand appétit à un bout et aucun sens de responsabilité à l'autre.

Vous savez, si j’ai écouté Michael Dukakis assez longtemps, je serais convaincu que nous sommes en période de récession économique et les gens sont sans abri et sans nourriture ni soins médicaux et que nous avons à faire quelque chose pour les chômeurs.

Le but de bien-être devrait être d' éliminer, dans la mesure du possible, la nécessité de sa propre existence.

Si l’Union Soviétique avait permis à un autre parti politique de voir le jour, elle aurait tout de même été un état à parti unique, car tout le monde aurait adhéré à l’autre partie.

Pour paraphraser Winston Churchill, je n'ai pas prêté le serment que je viens de prendre avec l'intention de présider à la dissolution de la plus forte économie mondiale.

Le gouvernement ne résout pas les problèmes ; il les subventionne.

Les gouvernements tendent à ne pas résoudre les problèmes, seulement pour les réorganiser.

L’idée d’être Président me fait peur et je ne pense pas vouloir le travail.