Citations de Virginia Woolf
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Plus on vieillit, plus on aime l'indécence.

Combien étrange est la puissance créatrice qui remet en ordre en une seule fois l’univers entier.

Une femme doit avoir de l’argent et sa propre chambre si elle écrit de la fiction.

Mon cerveau est pour moi la plus inexplicable des machines — toujours bourdonnant, ronflant, en plein essor, rugissant, plongeant et ensuite enterré dans la boue. Et pourquoi ? Pourquoi cette passion ?

L'homme qui est conscient de lui-même est désormais indépendant; Et il ne s'ennuie jamais, et la vie n'est que trop courte, et il est imprégné d'un bonheur profond mais tempéré.

Chaque secret de l'âme d'un écrivain, chaque expérience de sa vie, chaque qualité de son esprit sont écrites comme une évidence dans ses œuvres.

Ce ne sont pas des catastrophes, des meurtres, des décès, des maladies, cet âge et nous tuent; C'est la façon dont les gens regardent et rient, et font face aux étapes des omnibus.

C’est dans notre paresse, dans nos rêves, que la vérité submergée va parfois vers les sommets.

L'ennui est le royaume légitime de la philanthropie.

Nous pouvons vous aider la façon meilleure prevenir la guerre par ne pas répéter vos mots et par ne pas suivre vos méthodes, mais par trouver des mots nouveaux et par créer des méthodes nouvelles.

On dirait qu'un âge de génie doit être remplacé par un âge d’activité ; émeute et extravagance par la propreté et le travail acharné.

Il est bien plus difficile de tuer un fantôme qu’une réalité.

La beauté du monde, qui va bientôt périr, a deux bords, l'un de sourire, l'autre d'angoisse, qui déchirent le cœur.

Voici les modifications de l’âme. Je ne crois pas au vieillissement. Je crois à tout jamais altérer son aspect au soleil. Voilá mon optimisme.

Si vous ne dites pas la vérité au sujet de vous-même, vous ne pouvez pas la dire sur d’autres personnes.

J’ai pensé combien il est désagréable d'être enfermé à l'extérieur, et j’ai pensé que c’est pire, peut-être, d’être enfermé à l'intérieur.

Fiction est comme une toile d’araignée, peut être attaché légèrement,mais toujours attachée à la vie à quatre coins. L’attachement est souvent à peine perceptible.

Les yeux des autres, nos prisons ; leurs pensées, nos cages.

En tant que femme, je n’ai aucun pays. En tant que femme, mon pays est le monde entier.

Chacun a son passé enfermé dans lui comme les feuilles d’un livre qu'il connaît par cœur et ses amis peuvent seulement lire le titre.