Citations de Paul Valery

Un artiste ne finit jamais vraiment son travail, il l'abandonne tout simplement.

Un poème n’est jamais fini, juste abandonné.

Le problème avec notre temps, c’est que l’avenir n'est plus ce qu’il était.

Deux dangers menacent constamment le monde : l'ordre et le désordre.

Dieu créa l’homme et, ne le trouvant pas assez seul, lui donna une compagne pour lui faire ressentir sa solitude plus vivement.

Nous sommes enrichis par nos différences réciproques.

Le but de la psychologie est de nous donner une idée complètement différente des choses que nous connaissons mieux.

Le pouvoir sans abus perd son charme.

La guerre : c'est le massacre de gens qui ne se connaissent pas au profit de gens qui se connaissent mais qui ne se massacrent pas.

Dieu a tout fait à partir de rien, mais le néant transparaît.

L’univers est construit sur un plan dont la symétrie profonde est en quelque sorte présente dans la structure interne de notre intellect.

Ce qui a toujours été cru partout par tout le monde, a toutes les chances d’être faux.

Parfois, je pense, et parfois je suis.

L’avenir, comme tout le reste, n'est plus ce qu'il était.

De longues années doivent passer avant que les vérités que nous avons faites nous-mêmes deviennent notre chair.

Dans la poésie, tout ce qui doit être dit est presque impossible à dire bien.

Les vrais secrets de l’homme lui sont plus secrets qu’ils ne le sont à d’autres.

L’amour consiste à être stupide ensemble.

Un homme d' affaires est un hybride entre un danseur et une calculatrice.

Un homme est infiniment plus compliqué que ses propres pensées.