Citations de Leo Tolstoy
Une des premières conditions du bonheur est que le lien entre l’homme et la nature ne soit pas brisé.
S'il n'existait pas de moyens extérieurs pour atténuer leur conscience, la moitié des hommes se tirerait une balle dans le corps parce que vivre en contradiction avec la raison est un état intolérable, et tous les hommes de notre temps sont dans cet état.
La joie ne peut être vrai que si les gens regardent leur vie comme un service et disposent d’un objet défini dans la vie extérieure d’eux-mêmes et de leur bonheur personnel.
La différence principale entre la parole et les actes est que la parole est toujours destinée à être approuvée par les hommes, alors que les actes sont accomplis pour Dieu uniquement.
Plus grand l’État est, le plus mauvais et cruel son patriotisme et plus important est la somme des souffrances sur lesquels est fondée sa puissance.
Les changements dans notre vie doivent provenir de l’impossibilité de vivre autrement que selon les exigences de notre conscience non pas de notre résolution mentale d’essayer une nouvelle forme de vie.
La vérité, comme l’or, doit être obtenue non pas par sa croissance, mais en en lavant tout ce qui n’est pas or.
Un homme peut vivre et être sain sans tuer des animaux pour se nourrir; Par conséquent, s'il mange de la viande, il tue l' animale uniquement pour son appétit.
Je suis à cheval sur le dos d'un homme, je l'étouffe et je le force à me porter, mais pourtant je me convainc moi-même et les autres que je suis vraiment désolé pour lui et que j'aimerais aider son cas par tous les moyens — à l’exception de descendre de son dos.
La guerre, en revanche, c'est une chose terrible, si bien qu’aucun homme, surtout pas un homme chrétien, ne devrait assumer la responsabilité de l'avoir commencée.
La guerre est si injuste et si laide que tous ceux qui la font doivent essayer d'étouffer la voix de la conscience en eux-mêmes.
L’homme vit consciemment pour lui-même, cependant, il est un instrument inconscient dans la réalisation des objectifs historiques, universels, et ceux de l’humanité.