Citations de Khalil Gibran
Lorsque vous êtes triste regard a nouveau dans ton coeur, et tu verras qu’en vérité vous pleurent pour ce qui a été votre plus grand plaisir.
Pour comprendre le coeur et l’esprit d’une personne, ne regardez pas ce qu’elle a déjà atteint, mais à ce qu’elle souhaite atteindre.
Je vous aime lorsque vous vous prosternez dans votre mosquée, vous agenouillez dans votre temple, priez dans votre église. Car vous et moi sommes fils d’une seule religion, à savoir, l’esprit.
Sur mars. Ne pas demeurer. Pour aller de l’avant est d’aller vers la perfection. Sur mars et ne crains pas les épines ou les cailloux pointus sur le chemin de la vie.
Si vous aimez quelqu'un, laissez-le aller, car s’il revient, il était toujours à vous. Sinon, il ne l’ont jamais été.
Seulement quand on boit à la rivière du silence on peut vraiment chanter. Et quand on a atteint le sommet de la montagne, alors on commencera à grimper. Et quand la terre réclamera nos membres, alors on dansera vraiment.
Votre vie est déterminée non pas tant par ce que la vie vous apporte que par l’attitude que vous apportez à la vie ; non pas tant par ce qui vous arrive que par la façon dont votre esprit se penche sur ce qui se passe.
Hier, nous obéissions aux rois et courbions l'échine face aux empereurs. Mais aujourd'hui, on ne s'agenouille que devant la vérité, on ne suit que la beauté, et on n'obéit qu'à l'amour.
N’oubliez-pas que la terre est enchantée de sentir vos pieds nus et que le vent est impatient de jouer avec vos cheveux.
Le bavard m'a appris le silence, l'intolérant la tolérance et le méchant la gentillesse ; pourtant, étrangement, je n'ai aucune gratitude pour ces professeurs.
Mais qu’il y ait des espaces dans votre unité et laissez les vents des cieux danser entre vous. Aimez-vous les uns les autres, mais ne faites pas de lien d’amour : que ce soit plutôt une mer en mouvement entre les rivages de vos âmes.