Citations de Jules Verne

Vous saisissez les sentiments mieux lorsque vous vous dégagez de la nature. Vous les respirez dans tous les sens !

Le pays natal ! Là où l'on devrait vivre ! Là où l'on devrait mourir !

Un vrai Anglais ne plaisante pas quand il parle d’une chose tellement sérieuse, telle qu'un pari.

La liberté vaut la peine d'être payée.

La civilisation ne recule jamais ; la Loi de nécessité la force toujours à avancer.

Un homme énergique réussira où un indolent stagnera et périra inévitablement.

Pour inventer des machines, les hommes seront dévorés par elles.

Quand on a prend racine, on poousse des branches.

Ha ! Jeunes gens, voyagez si vous le pouvez, si vous ne le pouvez pas — voyagez quand même !

C’est pour les autres il faut apprendre à faire tout ; voilà le secret du bonheur.

Un homme de mérite ne doit qu'à lui-même l’hommage du reste de l’humanité qui reconnait sa valeur.

Bien que le sommeil soit appelé "notre meilleur ami", c’est un ami qui nous fait souvent attentre !

Mettez deux navires en pleine mer, sans vent ni vague, et à la fin, ils se réuniront. Jetez deux planètes dans l’espace et elles tomberont l'une sur l’autre. Placez deux ennemis au milieu d’une foule et ils se rencontreront inévitablement ; c’est une fatalité, une question de temps ; c’est tout.

Malgré les opinions de certains gens étroit d’esprit, qui aurait enfermé la race humaine sur cette planète, comme au sein d’un cercle magique, qu'il ne doit jamais excédé, nous allons un jour de voyager jusqu'à la lune, les planètes et les étoiles, avec la même facilité, la rapidité et la certitude que nous maintenant de faire le voyage de Liverpool à New York !

Quand la science a envoyé sa décison — c’est seulement pour entendre et pour obéir.

La solitude, l'isolement sont des choses douloureuses qui dépassent l’endurance humaine.

L’homme n’est jamais parfait, ni satisfait.

La mer est simplement l’incarnation d’une existence surnaturelle et merveilleuse.

Le trains, comme le temps et la marée, ne s’arrêtent pour personne.

La mer est tout. Elle couvre les sept dixièmes du globe terrestre. Son haleine est pur et sain. C’est un immense désert où l’homme n’est jamais seul, car il sent la vie remuer de tous les côtés.