Citations de Isabel Allende

Un mémoire est une invitation à la vie privée d’autrui.

L’écriture est une vocation, pas un choix.

Les sociétés les plus pauvres et les plus en arrière sont toujours celles qui méprisent les femmes.

L’écriture est mon travail. Je ne pense pas de ça comme de l'art.

J' aime beaucoup Hillary Clinton. Je la connais.

Mes écrits ne viennent pas des moments heureux, mais de lutte et de chagrin.

Si je n’écrivais pas, mon âme se dessècherait et mourrait.

J’ai été une femme pour 46 ans et j’ai réalisé récemment que je ne peux pas le changer et j’aime ça.

Tout le monde a des pertes — c’est inévitable dans la vie. Partager notre douleur permet de guérir

Nous ne connaissons pas encore la force que nous avons jusqu'à ce que nous sommes obligés de sortir cette force cachée. Aux temps de tragédie, de guerre, de nécessité, les gens font des choses étonnantes. La capacité humaine pour la survie et le renouvellement est impressionnante.

Si j'avais à choisir entre un parent et une bonne histoire, je choisirais l’histoire.

Malheureusement pour ma famille, ils ont un écrivain dans la famille.

Je suis plus heureux quand j'aime que quand je suis aimé. J'adore mon mari, mon fils, mes petits-enfants, ma mère, mon chien, et franchement, je ne sais pas même s'ils m'apprécient. Mais qui s’en soucie ? Les aimer, c'est ma joie.

Je n'ai jamais dit que je voulais une vie ' heureuse', mais une vie intéressante. J'ai beaucoup appris de la séparation et de la perte. Je suis devenu fort et résilient, comme c'est le cas de presque tous les êtres humains exposés à la vie et au monde. Nous ne connaissons pas encore la force que nous avons jusqu'à ce que nous sommes obligés de sortir cette force cachée.

Les filles d’aujourd'hui sont les femmes de demain — et les leaders.

Renforcer le pouvoir d'action des femmes veut dire leur faire confiance.

Ma vie est a propos de hauts et de bas, de grandes joies et de grandes pertes.

J’étais un mauvais journaliste. Je ne pouvais jamais être objectif. Parfois, j’inventais toute l’histoire.

J’ai tendance de voir les ressemblances chez les gens et non pas les différences.

Les racines ne sont pas dans le paysage, ou un pays ou un peuple, elles sont à l’intérieur de vous.