Citations de Helen Keller
Ce que nous avons apprécié une fois nous ne pouvons jamais perdre. Tout ce que nous aimons profondément devient une partie de nous.
Une fois, je ne savais que ténèbres et l’immobilité... ma vie était sans passé ni avenir... mais un petit mot des doigts d’un autre est tombé dans ma main qui embraye à vide, et mon cœur fait un bond pour le ravissement de la vie.
Les plus belles choses dans le monde ne peuvent pas être vues ou même touchées; elles doivent être ressenties avec le cœur.
La civilisation ne peut pas perdre de l'avant tant qu'il y a des jeunes en ce monde. Les jeunes peuvent être têtus, mais ils progressent sur la distance qui leur a été alloué..
La mort n’est pas plus de passer d’une pièce dans une autre. Mais il y a une différence pour moi, vous savez. Parce que dans cette pièce, je serai en mesure de voir.
Je peux voir, et c’est pourquoi je peux être heureux, dans ce que vous appelez l’obscurité, mais qui pour moi est d’or. Je peux voir un monde fait de Dieu, pas un monde artificiel.
Le monde se déplace le long, non seulement par les poussées puissantes de ses héros, mais aussi par l’ensemble des petites poussées de chaque travailleur honnête.
Mon aspiration est d'accomplir une grande et noble tâche, mais il est de mon premier devoir d'accomplir le tâches les plus humbles comme si elles étaient grandes et nobles.
Le caractère ne peut pas être mis au point dans la facilité et la tranquillité. Seulement par l’expérience des épreuves et dans la souffrance, l’âme peut être renforcée, l'ambition inspirée, et le succès atteint.
La merveilleuse richesse de l'expérience humaine perdrait quelque chose de réjouissante joie s'il n'y avait pas de limites à surmonter.L'heure de la colline ne serait pas moitié si merveilleux s'il n'y avait pas de vallées sombres à traverser.
La littérature est mon utopie. Ici, je ne suis pas privé de droits. Aucune barrière des sens ne me coupe des doux et gracieux discours de mes amis les livres. Ils me parlent sans embarras ni maladresse.
L'amour est comme une belle fleur que je ne peux pas toucher, mais dont le parfum rend le jardin un lieu de plaisir tout de même.