Citations de Charles de Montesquieu
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Ce dont manquent les orateurs en profondeur, ils se rattrapent en longueur.

Le luxe ruine les républiques ; la pauvreté, les monarchies.

Il n'y a pas de nation si puissante, comme celle qui obéit à ses lois non par les principes de la peur ou de la raison, mais de la passion.

La tyrannie d'un prince dans une oligarchie n'est pas si dangereuse pour le bien public que l'apathie d'un citoyen dans une démocratie.

La société est l’union des hommes et non les hommes eux-mêmes.

La liberté est le droit de faire ce que la loi permet.

Pour devenir vraiment important, il faut se tenir au niveau des gens, pas au-dessus d’eux.

Le pouvoir devait servir à contrôler le pouvoir.

Lorsque les pouvoirs législatifs et exécutifs sont unis par la même personne, ou par le même corps des magistrats, il ne peut y avoir aucune liberté  parce que les appréhensions peuvent survenir, de peur que le même monarque ou le Sénat adopte des lois tyranniques, afin de les exécuter d’une manière tyrannique.

Aucun Royaume n’a versé plus de sang que le Royaume du Christ.

Un empire fondé par la guerre doit se maintenir par la guerre.

Si nous voulions seulement être heureux, ça serait facile, mais nous voulons être plus heureux que les autres,et c’est presque toujours difficile,car nous les pensons plus heureux qu’ils ne le sont.

Il n’y a pas plus cruelle tyrannie que celle qui se perpétue sous le bouclier de la loi et au nom de la justice.

Les pays sont bien cultivés, non pas parce qu’ils sont fertiles, mais parce qu'ils sont libres.

Auteur : un imbécile qui, non content d’avoir ennuyé ceux qui ont vécu avec lui, insiste à tourmenter les générations à venir.

Nous devrions pleurer pour les hommes à leur naissance et non à leur mort.

L' esprit de modération doit être aussi l' esprit du législateur.

L’amitié est un arrangement par lequel nous nous engageons à échanger des petites faveurs contre celles qui sont plus grandes.

Il existe trois espèces de gouvernement : républicain, monarchique et despotique.

On devrait pleurer à la naissance de l’homme, et non à sa mort.