Arthur Schopenhauer phrases
Les journalistes sont comme des chiens, à chaque fois que quelque chose se déplace, ils commencent à aboyer.
Autres phrases
J’aime rêver !...Je ne mérite aucun crédit pour tourner l’autre joue...Règles et modèles détruisent le génie et l’art...J’ai toujours séparé le sport et ma vie...Aujourd’hui, vous êtes vous! Rien n’est pllus...Personne n’arrive à vivre en arrière. Regardez, c’est...