Arthur Schopenhauer phrases
Les journalistes sont comme des chiens, à chaque fois que quelque chose se déplace, ils commencent à aboyer.
Autres phrases
La fin de l’année n’est ni une fin ni un début, mais...La conception est venue vers moi. Je n’avais pas à...L’écriture est difficile...La musique classique est le genre dont onpense...Les vertus morales ne sont produites en nous ni par nature...Heureux l’homme, et heureux, il seul, celui qui peut...