Claire Tomalin phrases
Un de mes souvenirs les plus vives du milieu des années 1950s est de pleurer dans un lavabo rempli de vêtements de bébé gris savonneuse — il n’y avais aucune machines à laver — tandis que mon beau et adoré mari était parti jouer au football dans le parc le dimanche matin avec tous les adorables jeunes hommes qui avaient été nos amis à nous deux à Cambridge trois ans plus tôt.
Autres phrases
L’ imagination est un muscle. S’ il n’est...Un trou n’est rien du tout, mais vous pouvez vous casser...Vous avez besoin d’ego mais la mienne n’est pas...Nous venons d’un abîme sombre, nous finissons dans...Il n’y a pas d’argent dans des documentaires...Lorsque vous êtes triste regard a nouveau dans ton coeur...